Résumé :
« Hazel, 16 ans, est atteinte d’un cancer. Son dernier traitement semble avoir arrêté l’évolution de la maladie, mais elle se sait condamnée. Bien qu'elle s'y ennuie passablement, elle intègre un groupe de soutien, fréquenté par d'autres jeunes malades. C’est là qu’elle rencontre Augustus, un garçon en rémission, qui partage son humour et son goût de la littérature. Entre les deux adolescents, l'attirance est immédiate. Et malgré les réticences d’Hazel, qui a peur de s’impliquer dans une relation dont le temps est compté, leur histoire d’amour commence… les entraînant vite dans un projet un peu fou, ambitieux, drôle et surtout plein de vie. »
x Romance x Jeunesse x
x Nathan Jeunesse x 323 pages x Février 2013 x
Citation :
-Ok sera notre "toujours".
-Ok.
-Ok.
-Ok.
Mon avis :
Le seul livre que j'ai lu - ou plutôt dont je me souviens - lié au cancer est Oscar et la dame rose (mon avis ici).
Qui n'a rien ressenti en apprenant qu'un proche (ou pas proche) est atteint par cette maladie, qu'on décide de prendre beaucoup plus de temps pour le soutenir, qu'on se rend compte qu'on ne peut pas être aussi présent qu'on le souhaite, qu'il va s'en sortir, ou pas ?
J'avais donc de plus en plus d'attentes envers ce roman, entre l'aspect romance-pas-niaise et la relation avec le cancer.
John Green partage avec nous toutes les pensées d'Hazel, la narratrice dont la vie tourne exclusivement autour de son cancer, qu'elle soient drôles ou cyniques mais toujours tranchantes. Elle nous fait part de son sentiment de culpabilité et de son entêtement. Elle ne cherche pas à être parfaite, juste à être assez forte pour que ses proches souffrent moins.
Ce personnage m'a touchée. Je me suis identifiée à elle et aux personnages qui l'entourent. Je m'attendait même à les croiser dans la rue tellement leurs caractères me faisaient penser à des proches !
Augustus, c'est l'ami toujours présent qui vous remontera le moral. Les parents, ce sont les personnes qui s'impliquent tellement qu'on souhaite les aider pour rendre leur vie plus facile. L'ami-d'Augustus-dont-j'ai-oublié-le-nom est l'ami toujours dans une histoire d'amour qui finit mal.
John Green a su écrire une histoire où on ne prend pas les personnages en pitié alors que, il faut quand même l'avouer, ils ne sont pas épargnés par la vie : leur mode de vie un peu plus compliqué, leur passion pour un livre "Une impériale affliction", ...
Qui n'a rien ressenti en apprenant qu'un proche (ou pas proche) est atteint par cette maladie, qu'on décide de prendre beaucoup plus de temps pour le soutenir, qu'on se rend compte qu'on ne peut pas être aussi présent qu'on le souhaite, qu'il va s'en sortir, ou pas ?
Personnellement, si un livre parle du cancer, de manière plus ou moins directe, je veux être bouleversée, secouée comme dans la vraie vie !
Et puis, un couple qui ne s'échange pas des "Je t'aime" à tout va,
mais des "Ok ? Ok.", ça ne pouvait que me plaire !
Je n'ai pas été déçue.
John Green partage avec nous toutes les pensées d'Hazel, la narratrice dont la vie tourne exclusivement autour de son cancer, qu'elle soient drôles ou cyniques mais toujours tranchantes. Elle nous fait part de son sentiment de culpabilité et de son entêtement. Elle ne cherche pas à être parfaite, juste à être assez forte pour que ses proches souffrent moins.
Ce personnage m'a touchée. Je me suis identifiée à elle et aux personnages qui l'entourent. Je m'attendait même à les croiser dans la rue tellement leurs caractères me faisaient penser à des proches !
Augustus, c'est l'ami toujours présent qui vous remontera le moral. Les parents, ce sont les personnes qui s'impliquent tellement qu'on souhaite les aider pour rendre leur vie plus facile. L'ami-d'Augustus-dont-j'ai-oublié-le-nom est l'ami toujours dans une histoire d'amour qui finit mal.
John Green a su écrire une histoire où on ne prend pas les personnages en pitié alors que, il faut quand même l'avouer, ils ne sont pas épargnés par la vie : leur mode de vie un peu plus compliqué, leur passion pour un livre "Une impériale affliction", ...
Bref, à la fin du roman, j'étais bouleversée, secouée.
Allez-y. Plongez-vous dans cette histoire. Ok ?
Musique : Counting stars - OneRepublic
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